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La résistance juive en France

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Résistance juive et Juifs résistants - Un combat commun contre le nazisme Des FTP-MOI aux maquis juifs du Tarn - La résistance armée Le soutien français à la résistance juive - Le tournant de l’été 1942 Résistance juive et Juifs résistants - Un combat commun contre le nazisme Des FTP-MOI aux maquis juifs du Tarn - La résistance armée Le soutien français à la résistance juive - Le tournant de l’été 1942
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Lutte armée et sauvetage
Des juifs dans la Résistance
par Katy HAZAN
Organisation Juive de Combat - Spécificités et pratiques communes Le passage à la clandestinité - L'interdépendance des réseaux
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Des juifs dans la Résistance
L'Organisation juive de combat
par Georges LOINGER
La volonté de témoigner - L'association des anciens de la Résistance juive La résistance juive - L’armée et le sauvetage
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Des juifs dans la Résistance
Lutte armée et maquis juifs
par Jacques LAZARUS
L'engagement dans l'Armée juive (AJ) - Un acte de résistance et sioniste De Fresnes au convoi des 51 otages - Le parcours de Jacques Lazarus Les résistants disparus de l'Armée juive - Un acte absolu de désintéressement
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Le statut des juifs en Algérie - De la Dhimmitude à l'abrogation du décret Crémieux La naissance d'une résistance juive - Le groupe Géo Gras Le débarquement Allié en Afrique du Nord - L'opération Torch
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Documents
 

Les maquis juifs du Tarn
L’armée juive et les Eclaireurs Israélites de France
Les maquis juifs du Tarn, basés à l’Espinassier pour l’Armée Juive et à Vabre pour les Eclaireurs israélites de France ont permis à leurs combattants de mener autrement la résistance juive. Les maquis juifs, soumis à l’autorité des chefs de la Résistance armée locale gardaient la responsabilité de leur propre encadrement, de l’entraînement, du ravitaillement et de la vie quotidienne des unités.
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Une vocation communautaire
Les réseaux de résistance juifs
Une résistance spécifiquement juive a existé, dès 1940 à travers onze réseaux, composés de plus de six cent membres près à risquer leur vie pour d’autres Juifs et la libération du sol français. Le livre "Organisation juive de combat, France 1940-1945 "recense tous ces réseaux et le parcours d’hommes et de femmes d’exception. Présentation de l’Armée Juive (AJ), du Mouvement de jeunesse sioniste (MJS), de l’Oeuvre de Secours aux enfants (OSE)-Réseau George Garrel, du Comité Amelot, de la Sixième-Eclaireurs Israélites de France, du réseau Westerweel, des aumôniers, du réseau Marcel, du service André, du réseau SF-WIZO, service familial clandestin de placement d’enfants et de l’hôpital de la Fondation Rotschild.
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Ombres et lumières
L’Union générale des Israélites de France (UGIF)
La loi française 29 novembre 1941, à la demande des Allemands, institue auprès du Commissaire général aux Questions juives une Union Générale des Israélites de France. Elle a pour objet d'assurer la représentation des Juifs auprès des pouvoirs publics. L’image de l’UGIF est aujourd’hui beaucoup plus contrastée qu’elle ne l’était il y a 30 ans. On a notamment reproché à l’UGIF de ne pas voir fait évacuer à temps des maisons d’enfants raflées en juillet 1944.
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Les réseaux de résistance en France
FTP - MOI- LIBERATION SUD
Les Francs-tireurs et partisans (FTP) est le mouvement de résistance armée créé en France à la fin de 1941 par la direction du parti communiste français. La Main d'œuvre immigrée (MOI) fut d'abord une organisation de type syndical avant de devenir pendant la Seconde Guerre mondiale le groupe armé des F.T.P, la F.T.P-M.O.I. Libération Sud est un mouvement de Résistance français créé dans la zone libre (zone sud).
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Les maquis juifs du Tarn
L’armée juive et les Eclaireurs juifs de France
Les maquis juifs du Tarn, basés à l’Espinassier pour l’Armée Juive et à Vabre pour les Eclaireurs Juifs de France ont permis à leurs combattants de mener autrement la résistance juive. Les maquis juifs, soumis à l’autorité des chefs de la Résistance armée locale gardaient la responsabilité de leur propre encadrement, de l’entraînement, du ravitaillement et de la vie quotidienne des unités.
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Une des figures centrales du judaïsme français
Le grand rabbin de France Isaïe Schwartz
D’origine alsacienne, Isaïe Schwartz fut le premier à porter le titre de grand rabbin de France. Pendant la guerre, il parvient à échapper à la Gestapo et à aider les juifs internés dans les camps de la zone sud. Jacob Kaplan, son successeur prononça une oraison funèbre lors de ses funérailles en 1952. Extraits de cet hommage.
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Juif au combat
Jacques Lazarus dit Jacquel
Il a été une des figures de la résistance juive au sein de l’Armée Juive. Arrêté le 17 juillet 1944, il échappe de peu à la déportation en s’évadant du "convoi des 51 otages". Il a récemment participé à la réédition du livre Organisation juive de combat sur les réseaux de résistance juifs.
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Victimes et héros
Les figures de la Résistance juive
Ils furent plus de six cent, hommes et femmes, à la fois juifs et résistants, combattants dans un des dix réseaux de résistance juive. Dès 1940, chacun a contribué à sauver d’autres juifs au péril de leur vie. Leur nom est écrit à jamais dans l’Histoire.
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Institutions communautaires
Les organisations juives de lutte contre l’antisémitisme
Dès l’entre-deux-guerres, autour du Consistoire et des notables israélites français, un certain nombre d’organisations juives d’assistance et de vigilance contre l’antisémitisme se sont mises en place. Le CRIF est fondé pendant la guerre en 1943, il est aujourd’hui organe représentatif de la communauté juive de France.
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Le témoignage de la résistance juive
Organisation juive de combat, France 1940-1945
"Organisation juive de combat, France 1940-1945 "paraît en septembre 2006 dans une version revue et augmentée d’un réseau et de nouvelles biographies. Cet ouvrage a été initié par Georges Loinger, président de l’Association des Anciens de la Résistance Juive (ARJF-OJC) et rédigé par sa déléguée à la mémoire Frida Wattenberg.
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Le porte-parole officiel des juifs de France
Le C.R.I.F. (Conseil Représentatif des Institutions juives de France)
Le porte-parole officiel des juifs de France Le C.R.I.F. (Conseil Représentatif des Institutions juives de France) Créé par le Consistoire central pendant la guerre pour coordonner la résistance, le CRIF représente aujourd’hui les institutions juives de France auprès des pouvoirs publics.
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La résistance communiste
Les Francs-tireurs et partisans- Main d’oeuvre immigrée (FTP-MOI)
Les FTP-MOI, dans lesquels ont combattu de nombreux juifs, est un des groupes de résistance les plus actifs pendant la guerre , rendu tristement célèbre par l’épisode de l’Affiche rouge.
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Des Français aux côtés des Alliés
FFL et FFI
C’est dans l’exil, ou la clandestinité, que les membres de la Résistance française se battent pour le rétablissement de la République. Tout au long de la guerre, le général De Gaulle s’efforce de coordonner leur action depuis Londres: il organise d’abord la France Libre, puis centralise les réseaux de la Résistance intérieure.
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Forces Françaises Libres
Mendès France, le combattant
Pierre Mendès France part en 1942 rejoindre le Général De Gaulle à Londres. Il intègre les Forces Françaises Libres.
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L’Etat français liquide la République
Le procès de Clermont-Ferrand
Arrêté au Maroc, d’où il souhaitait poursuivre le combat contre l’Allemagne, Pierre Mendès France est transféré à Clermont-Ferrand par le gouvernement vichyste. Là, un tribunal militaire le condamne pour "désertion". Pierre Mendès France réussit à s’échapper peu après, mais il restera profondément marqué par ce procès inique.
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Document N° 22
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Document N° 24
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